Mutuelle pour auto entrepreneur chauffeur VTC
- Qu’est-ce qu’un chauffeur VTC ?
- Les risques professionnels de ce métier
- Apicil, mutuelle pour auto-entrepreneur
Le régime de micro-entreprise convient aux travailleurs désirant bénéficier de modalités comptables simplifiées et d’avantages administratifs attrayants. En effet, le montant de la cotisation sociale d’un micro-entrepreneur est calculé en fonction de son chiffre d’affaires. De plus, une somme importante n’est pas nécessaire pour démarrer leur activité. Cependant, il leur est bénéfique de compléter la couverture offerte par la sécurité sociale des indépendants, d’autant plus qu’ils ne sont pas éligibles aux avantages du contrat Madelin. Le chauffeur VTC fait partie de ces professionnels. Zoom sur ce métier, ses risques professionnels et la mutuelle santé « auto-entrepreneur » qui correspond à leurs besoins.
Qu’est-ce qu’un chauffeur VTC ?
Le chauffeur de VTC, ou Véhicule de Tourisme avec Chauffeur, propose des services similaires à ceux d’un taxi. Il transporte des clients d’un point A à un point B dans son véhicule, mais ses prestations sont généralement considérées comme haut de gamme et les conditions de prise en charge sont convenues à l’avance entre les deux parties. Un VTC ne peut transporter plus de 9 passagers, au-delà, il tombe dans la catégorie du transport de personnes de grande capacité. Cet auto-entrepreneur peut collaborer avec un hôtel ou une entreprise, ou offrir ses services via une plateforme de réservation de VTC. Pour exercer ce métier, il faut obtenir une carte professionnelle VTC, délivrée par la préfecture. L’obtention de cette carte nécessite la réussite d’un examen VTC, divisé en 7 modules théoriques et un examen pratique. Le chauffeur VTC doit aussi détenir un permis de conduire de plus de 3 ans, présenter un casier judiciaire vierge et suivre une formation de 7 heures tous les 5 ans. Enfin, sur le plan de l’immatriculation, le chauffeur VTC doit s’acquitter de 170 euros tous les 5 ans, ce qui reste très abordable comparé au coût d’une licence de taxi.
Les risques professionnels de ce métier
Être chauffeur VTC, c’est être conducteur de véhicule de location privé. C’est la nouvelle tendance en matière de transport public en France, à la grande consternation des taxis. Les particuliers préfèrent faire appel à un professionnel disposant d’un véhicule de luxe, parfaitement entretenu, et offrant un service disponible à toute heure.
Métier assez contraignant
Les risques liés à ce métier sont nombreux. Par exemple, le fait de travailler dans une position assise toute la journée peut nuire à la santé du dos et favoriser l’apparition de lumbagos. Être coincé dans le trafic pendant de longues heures peut être épuisant mentalement et physiquement. Le chauffeur VTC est particulièrement exposé aux problèmes dorsaux et lombaires, aux accidents de la route pouvant causer un handicap physique, ainsi qu’aux pathologies cardiovasculaires et respiratoires liées au stress.
Les clients, souvent pressés, peuvent être difficiles à gérer, ce qui peut affecter le moral. De plus, le chauffeur VTC peut être amené à travailler la nuit, ce qui implique des horaires décalés. L’insécurité croissante en France n’améliore pas la situation. Le chauffeur VTC n’est jamais à l’abri d’un braquage ou de malfaiteurs qui tenteraient de le dépouiller de son véhicule et de ses biens.
De plus, ce métier qui consiste à parcourir les rues comporte toujours le risque d’accidents de la route. C’est d’autant plus probable dans les rues de la capitale où trottinettes électriques et skateboards sont devenus très populaires et où leurs utilisateurs ne font pas toujours attention.
Que faire pour y remédier ?
En raison de son mode de vie et de ses horaires de repas irréguliers, un chauffeur VTC peut également souffrir de troubles gastriques et intestinaux. Même si le véhicule du chauffeur VTC permet d’adopter des postures confortables au volant, il doit subir un examen médical annuel pour surveiller son état de santé. En effet, en cas de pathologies graves, un auto-entrepreneur prend en charge les dépenses de santé non remboursées par la sécurité sociale des indépendants. Cela pourrait avoir un impact sur ses revenus et sa situation financière. Pour éviter ces difficultés financières, il est conseillé à ce professionnel de souscrire à une mutuelle pour auto-entrepreneur comme Apicil.
Apicil, mutuelle pour auto-entrepreneur
Vous avez réussi l’examen de capacité de transport VTC ? Vous avez votre carte professionnelle et votre permis de conduire ? Vous êtes prêt à vous lancer dans ce métier, ou presque. Vous aurez également besoin d’une bonne mutuelle santé, car être chauffeur VTC comporte des risques.
Ce groupe de protection sociale français, créé dans les années 40, propose un contrat d’assurance santé spécifiquement conçu pour les auto-entrepreneurs. Ce contrat offre une prise en charge allant jusqu’à 500 % du BRSS pour les consultations courantes des médecins généralistes et spécialistes DPTAM et 200 % du BRSS pour les non-DPTAM. En cas d’hospitalisation, l’auto-entrepreneur peut obtenir un remboursement pour une chambre particulière allant jusqu’à 70 euros par jour. En ce qui concerne le remboursement des frais dentaires et optiques, le contrat prévoit une prise en charge allant jusqu’à 500 % du BRSS avec un plafond de 1 800 euros par an et un forfait de 650 euros pour une monture et deux verres. Les intéressés peuvent obtenir un devis gratuit sur le site d’Apicil. Pour trouver une mutuelle « auto-entrepreneur » à un prix raisonnable, ils peuvent aussi utiliser le comparateur d’assurance auto-entrepreneur gratuit en bas de ce site.